mercredi 25 mai 2016

Petits entretiens de la vie privée : expérience quotidienne sur le web

Parution aux Presses Universitaires de Namur d'un ouvrage de Nathalie Grandjean, Claire Lobet-Maris, Perrine Vanmeerbeek auquel j'ai participé.
  • mon texte
  • http://pun.be/fr/livre/?GCOI=99993100789840 
    Vivre et agir sur Internet demandent de s'y dévoiler dans ses opinions, ses goûts et ses comportements ... c'est à ce prix que nous existons sur les réseaux sociaux. Est-ce pour autant la fin de la vie privée ? En se focalisant sur l'idée alarmiste que la vie privée disparaît, nous oublions de nous poser les questions politiques essentielles de ce qui est en train de disparaître, et de ce que nous devons reconfigurer pour préserver notre vivre ensemble et notre développement personnel. Loin des injonctions simplistes invitant chacun d'entre nous dans un combat d'arrière garde à protéger ses données personnelles, ce livre apporte un éclairage essentiel sur ce qu'il nous arrive, mais aussi des réponses pragmatiques pour tracer les voies d'une 'bonne vie' sur Internet dans le respect des personnes et de la démocratie.
    L'ouvrage est basé sur une série d'entretiens d'experts de différents domaines, de fins observateurs de la vie digitale. Chacun apporte un angle d'analyse, une manière d'envisager la société actuelle, sans langue de bois. Les différents points de vue permettent au lecteur de retrouver des prises pour comprendre le monde digital, mieux s'y repérer, et dès lors, développer davantage de capacités d’action.
    Experts interrogés : Serge Abiteboul (ingénieur), Pierre-Antoine Chardel (philosophe), Jean-Michel Cornu (ingénieur), Dominique Desjeux (anthropologue), Nicole Dewandre (ingénieure, philosophe), Cécile de Terwangne (juriste), Fanny Georges (sciences de la communication), Nathalie Grandjean (philosophe), Daniel Kaplan (économiste, sciences politiques), Claire Lobet-Maris (sociologue), Jean-Marc Manach (journaliste), Antoinette Rouvroy (juriste, philosophe), Serge Tisseron (psychanalyste, psychiatre), Sophie Vulliet-Tavernier (juriste, sciences politiques, sciences de l’information).
Bon je me vois plutôt comme informaticien que comme ingénieur... Mais c'est comme on veut.

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